dimanche 17 mai 2009

Les Musulmans se doivent pour Allah et Son Messager rectifier les déviances imposées

ACTES ET AXES FONDATEURS
DE L'ISLAM EN MARTINIQUE ET AUX ANTILLES GUYANE


1er Mai 1978
Son Excellence Si Hamza Boubakeur Recteur de L'Institut Musulman de la Mosquée de Paris délivre une accréditation officielle d'imam à El hadj Fodé Marega , y compris pour la création d'associations en Martinique liées à la mosquée de Paris.

Introduction à la connaissance de Fodé Maréga et de L'environnement en France et aux Antilles de son vivant à sa mort?

Selon un document délivré par le Préfet des Hautes SEINE à titre de séjour en France daté du 27. 05. 1980; Feu El Hadj Fodé Maréga , est né vers 1935 à SANFAGADALA au Mali, de nationalité malienne. Sa profession : "salarié" revient après enquête à celle de "marabout" domicilié au 29 rue Carnot 92 Boulogne. Il était marié, et père de famille.
Nous avons appris son décès depuis quelques années, victime d'une fusillade, ou d'un règlement de compte, relevant selon certains, d'un différent foncier, en Afrique.
Sitôt la nouvelle de sa mort parvenue en Martinique, l'un de ses sectateurs complice antillais en charge d'un groupuscule à la mosquée rue Crémieux aux Terres-Sainvilles, fit publier l'avis de décès dans le quotidien France-Antilles. Souhaitant ramener pour la prière des morts dans « sa mosquée », toute la communauté dont Maréga (son Gourou) avait déjà contribué à diviser. ..
À la mort de Marega l'environnement de l'islam aux Antilles Guyane ne sera plus seulement celui de "l'ignorance et des passions" qu'il fut de son vivant " mais désormais le champs "de l'hypocrisie des convoitises " …
Certains marabouts de la confrérie du gourou de la rue chabrol à Paris ; faisant partie intégrante de la manipulation officielle du traitement colonial de l’islam aux dernières colonies ; à laquelle appartenait Fodé Maréga, se sont présentés à la prière mortuaire. De même certains éléments africains d’autre secte confrérique, en contradiction avec l’honorable CHEIKH Ahmadou BAMBA ; parce que davantage liés dit on aux services de l’impérialisme, tout en contrôlant le transport et le coton du peuple sénégalais.
Tout ce beau monde ayant déjà tiré profit d’une escroquerie morale en matière associative. Ils récupérent en effet les projets et les associations fondés à Paris; tels que (Le Lien Islamique Universel à Paris, en Martinique et l’Union des Associations du Lien Islamique).De plus ils se sont appropriés de la même façon le projet d'une Mosquée et un Centre Cultuel en Martinique en 1980-81.Alors que la paternité d'un tel travail n'était que le fruit des efforts des initiateurs dont Mahmoud Barka avec ses collaborateurs étudiants islamiques antillais, africains et arabes . Ce qui fut transformé par les récupérateurs, sous une nouvelle association dite centre culturel islamique en Martinique.
Surtout, lors de la prière des morts au décès (du marabout), les mêmes personnes tentèrent de tirer profit de sa disparition en vue de contrôler à leur profit, l’islam aux Antilles. En rajoutant bien sûr, à la division ambiante des autochtones convertis antillais. S'arrogeant même d'empêcher toute fréquentation des autres mosquées dans le sud à Rivière Pilote. D'où ’objectif de mise sous influence en rapport avec la destruction de tout ce qui relève de l'édification d’autres structures et infrastructures indépendantes des orientations maraboutiques. De la sorte ils empêchaient pour ces motifs aux personnes sous leur influence de fréquenter les (organisations, associations centres cultuels et culturels, bibliothèque) des musulmans autochtones d'origine antillaise; y compris par des méthodes obscures.
"Tant que vous n'êtes pas avec nous vous n'aurez rien"…c'est bien, l'une des boutades de cet imam de la confrérie sénégalaise en Martinique… Ce qu'il convient de retenir et d'analyser. Ceci revient également à s'interroger à qui d'autre profite cet "impérialisme "sectaire introduit aux Antilles?

Les commanditaires d’un tel dirigisme ramènent l'islam aux Antilles Guyane aux seuls enjeux du tribalisme africain, (pourrissant depuis longtemps, l’Afrique par guerres tribales et luttes de pouvoir) issu des alliances des ethnies confrériques et sectaires.
Dans ce contexte aux Antilles ce qui est la réalité : ramène aux dérives maraboutiques conduisant aux déviations voulues par le traitement colonial de l’islam. Il s’agit d’empêcher une émergence autochtone de l’islam où de tenter de fabriquer des inféodés autochtones aux sectes impérialistes. Ce qui sera difficile sous l’œil vigilant des musulmans anti-impérialistes et des peuples caribéens ANTI COLONIALISTES qui n’accepteront plus de telles influences voulant, certes dégager leur région de l’hégémonie des prédateurs colonialistes.
Enfin l'instrumentalisation du système ramène aussi aux autres clans commerçants que l’on retrouve d'ici et ailleurs, de concert avec ce traitement commercial et colonial de l’islam et aux convoitises conjoncturelles. Les seuls mots d'ordres réunissant ses différents éléments s'accordent à contrôler l'islam et la communauté(…) à utiliser les convertis ignorants ou sous influence et à écarter les prérogatives des musulmans (nes)autochtones au détriment du succès de l'islam aux Antilles Guyane.
En négation du coran et de la sunna, le traitement colonial de l’islam, s'accommode avec les convoitises en hauts -lieux, dans "ce pré carré des influences impérialistes" du sub-continent: les caraïbes et les Antilles Guyane.



L'islam aux Antilles Guyane depuis la création de l'environnement de "l'ignorance et des passions" avec Fode Marega.

Nous aurions aimé nous tromper en qualifiant de la sorte la période de Marega; une lettre de l'intéressée du 21 mars 1979 adressée à Si Hamza Boubakneur, le Recteur de la Mosquée de Paris peut être considérée comme autobiographique, pour illustrer un portrait de ce fameux marabout.
Dans cet extrait Marega vu par lui même se présente texto, en ces termes:
">"Excellence, je vous précise ma famille afin que vous sachiez qui je suis et non pour vous faire savoir que je suis un grand Monsieur: d'abord mon grand père s'appelait Cheikh Abdallah Ben Tafsir Aboubakeur, Abdallah a vécu pendant cent trente neuf années et a fini sa vie dans le djihad pour l'islam, et mon père lui même s'appelait Cheikh Salim Benta Marega, il est né en 1835, il est le premier Zamad Loula 1963, il a vécu cent vingt huit années. Je vous dis tout cela pour vous faire savoir que c'est ce sang qui est sous ma peau, mes parents sont de la région de Kailles. Quand mon père a quitté Kailles en Gambysarah, république de la Gamby et il est retourné s'installer dans une commune où personne ne parlait de l'islam, c'est à dire que cela n'existait pas, mais il a réussi à convaincre tout le monde pour la religion, et maintenant il n'y a pas qui ne soit pas islamique dans cette région…"
"…Je suis sûr de mon sang avec la bénédiction que mon père m'a donné, la misère que j'ai supporté chez mon maître, "le secrêt"qu'il m'a remis, ma volonté et puissance islamique avec votre aide (s'adressant au recteur Excellence, Si Hamza Boubakeur) je peux réussir in châalah…"
"Pensez à votre connaissance dans le monde entier avec votre puissance intellectuelle avec tout le pouvoir que Dieu vous a donné, je sais que si vous décidez de m'aider vous pouvez lez faire sans l'aide de personne".
Aujourd'hui même si je meurs avant que vous receviez ma lettre, soyez en rassuré, que je serai pardonné par Dieu parce que le secret de Fatiha est attaché au fond de mon cœur avec le secrêt de sourate el Khalase, l'amour de l'éternel et son serviteur "Mahomet"…
Il peut paraître quelque peu présomptueux dans les entournures de son langage quelque peu codé et mystique. Mais le prophète de l’islam lui-même n’anticipait pas ainsi et craignait sa rencontre avec Dieu avant sa mort.

De son vivant " El Hadj Fodé Marega vu par lui même

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